Ne pars pas...
Ne pars pas
Ne m'obliges pas à ne plus t'aimer
Ne me prives pas de tes baisers
Tu ne peux pas ne pas rester là
Penses un peu à moi
Qu'est ce que je vais faire
Brise ton coeur de pierre
Comment je vais faire sans toi?
Ne pars pas
Ne m'obliges pas à ne plus t'aimer
Ne me prives pas de tes baisers
Tu ne peux pas ne pas rester là
Penses un peu à moi
Qu'est ce que je vais faire
Brise ton coeur de pierre
Comment je vais faire sans toi?
Dis moi où se déverse le Nil?
Pourquoi les canons vomissent la mort?
Pourquoi les amants se haissent ils si forts?
Montre moi ma vie glisser sur un fil
J'ai engagé deux colombes
Pour savoir ce que tu fais,
Par où tu reviendrais,
Mais je ne vois rien dans ces catacombles
Mais tu m'as laissé si vite,
Après m'avoir déchiré entre l'envie et l'amour,
J'ai envie d'être fou
Un fou aux bords d'un précipice.
Quand tu es là, tu me troubles,
J'ai besoin de tant d'amour,
Rien ; rien ne va sans ton amour,
Fermes les yeux et penses à moi,
Comme si j'étais en toi,
Dans une nuit rougeâtre,
Sur le lit de soie blanchâtre,
Non ; non je n'en peux plus,
J'ai tant envie de toi,
Comme toi ; tu as besoin de moi,
Entends tu mon souffle saccadé,
Dans tes cheveux mouillés,
Quand tu n'es pas là ; je n'en peux plus,
Restes ici pour m'épuiser,
Où pars pour me tuer,
Glisses auprès de mon corps ; jeune amazone,
A chacun ses propres zones,
Pourquoi ne viens tu pas,
Quand je suis là,
Quand tu étais là, tu me troublais,
J'avais tellement besoin que tu me plaises.
J'étais si heureux de te savoir,
A moi pour toujours
Je ne rêvais que de ton amour
Et maintenant je n'ose plus y croire
Car tu es partie sans moi
Je suis seul devenu une proie
Au suicide et à la mélancolie
Reviens je t'en supplie
Me laisse pas dans le noir
Appeuré et affamée dans ce long couloir
Que tu as créé pour t'amuser
Tandis que je pensais qu'à t'aimer
Je me déssèches et tu ris
Je me meurs et tu vis
Je t'aime ; tu m'oublies
Tu disparais et j'agonises
Ou est la fin de ce couloir
Aides moi pour mon amour
Reviens moi un jour
Je t'attendrais dans le noir
Mais n'oublies jamais
Que je t'aime de toute mon âme
Même si j'ai peur du noir ; infame
Attente que je haïs
J'ai si mal de ne plus te voir
J'aimerais tant ne plus t'aimer
Et penser à m'amuser
Mais tu restes gravée dans ma mémoire.
L'amour caresse les deux joueurs
Quand l'un d'eux s'en va, l'amour
Brîle l'autre
Quand les deux s'en vont, il attaque
Quelqu'un qui passa par là
Je préconise du moins pour ma part
L'originalité dans le classicisme
J'aimerais tant lorsque je sens que tu ne m'aimes plus
J'ai si peur de laisser ce monde sans être heureux et d'avoir fais quelque chose de bénéfique
Je ne sens plus le vent soufflé dans tes cheveux, je ne sens plus tes lèvres sur les miennes, je cherche ta main quand elle est dans la mienne. Je recherche tes regards quand tu es loin
Pourtant je t'aime je t'aime plus que ma propre vie qui s'échappe hors de mon corpsb ne laissante que cet amour qui fait mal
Je meurs comme un vieux Roméo qui ne sait plus vivre ne sait plus aimer
Je suis une vieille feuille jaunit par l'incativité créative et les erreurs de l'existence, qui saigne par les plaies du fil du rasoir de l'ignorance et de l'incompréhension.
J'aimerais avoir du génie,ou de l'or ou une beauté ou encore être immortel.
Mais je n'ai que malheur maladie ignorance de l'amour
J'entends les battements de ton coeur mais je ne sais pour qui il bat
J'ai peur que tu t'enfuies sans larmes
Frappé d'amour subit envers ton ombre qui me hante toutes les nuits
L'orde son corps, le feu de ses lèvres l'ombre de ses seins, la prunelle de ses yeux